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Règlo'Sport

L’outil pour lutter contre les violences dans le sport issu d’une collaboration entre l’Association Francophone de Femmes Autistes, le ministère des Sports et des Jeux Olympiques et Paralympiques et du Comité Paralympique et Sportif Français

Le Règlo'Sport Digital
comment ça fonctionne ?

Cet outil fonctionne par système de graduation allant d’une couleur verte pour des situations saines, aux couleurs orange puis rouge pour des situations qui deviendraient gênantes, malveillantes voir même dangereuses. Pour chaque ressenti, il existe des précisions permettant d’identifier les comportements déviants afin de se protéger ou de protéger une personne de son entourage.

Je ressens du bien-être, de la confiance et du respect quand ...

Je ressens (de la) gêne et (du) malaise quand...

Je me sens très mal et j’ai peur quand...

Amuse-toi ! 😊

Non tu n’es pas seul·e, tu peux en parler 😕

Non, tu n’es pas responsable mais tu es en danger 😣

Obtenir de l'aide Icône de téléphone

    Je ressens du bien-être, dela confiance et du respect quand…

    Je me sens encouragé·e dans mes efforts

    1

    Les règles sportives, les personnes et l’environnement sont respectés

    2

    Je me sens libre de demander des explications sur une parole, un geste, une consigne

    3

    Je me sens libre de demander les adaptations dont j’ai besoin pour ma pratique

    4

    Mon corps m’appartient, mon accord est demandé lors d’un geste technique ou un contact répété sur mon corps

    5

    Je me sens à l’aise quand je me change, ou qu’on m’aide ; mon intimité est respectée

    6

    Je peux vivre sans crainte mon identité de genre ou mon orientation sexuelle

    7

    Amuse-toi ! 😊

    Je ressens gêne et malaise quand…

    Je ressens des attitudes (paroles, gestes, regards) dévalorisants ou trop flatteurs, sur mon corps ou mes vêtements

    8

    Je dois me mettre en sous-vêtements à la vue des autres (vestiaire, massage, pesée, transport, douche en plein air…)

    9

    L’encadrement entre dans les vestiaires sans attendre mon autorisation

    10

    On m’aide dans des gestes de la vie quotidienne (habillement, toilettes …) sans que j’en ai exprimé le besoin ou l’envie

    11

    Je ressens une pression de plus en plus lourde par les réseaux sociaux (entraîneurs, coéquipiers, followers, sponsors, chantage à la sélection…)

    12

    On me demande de rester à la fin de l’entraînement, et il n’y a plus personne. Cette situation m’angoisse

    13

    Non tu n’es pas seul·e, tu peux en parler 😕

    Obtenir de l'aide Icône de téléphone

    Je me sens très mal et j’ai peur quand…

    Je me sens seul·e, isolé·e et harcelé·e ; j’ai peur, alors que j’aime mon sport

    14

    Je subis des violences sur les réseaux sociaux (messages haineux ou sexuels…)

    15

    On diffuse des photos des parties de mon corps, en sous-vêtements ou nues

    16

    On me prive d’un matériel adapté, d’un traitement médical autorisé, ou de boire ou de manger

    17

    Mes parties intimes sont touchées, caressées, embrassées (bouche, cuisse, fesses, poitrine, sexe)

    18

    On me demande de toucher, caresser ou embrasser les parties intimes d’une autre personne ; je subis un rapport sexuel

    19

    On me fait du chantage pour que je garde le secret

    20

    Non, tu n’es pas responsable mais tu es en danger 😣

    Obtenir de l'aide Icône de téléphone

Je me sens encouragé·e dans mes efforts

1
  • Concernant cette situation, les sentiments ressentis peuvent être, par exemple, les suivants :
  • Mon entraîneur·e me félicite de ce que j’accomplis à l’entraînement. Il/elle m’encourage et me donne des conseils que je gagne ou que je perde, quelles que soient mes performances. Il/elle prend le temps de m’expliquer pour que je m’améliore.


    Pour m’encourager, parfois l’entraîneur ou mon parent est un peu rude car il/elle est exigeant.e. L’entraînement et les horaires sont parfois difficiles. Mais on m’explique toujours pourquoi, avec calme. On ne me crie jamais dessus, et ne me rabaisse jamais. Le sport c’est une passion, ce sont des récompenses, c’est de la déception, c’est de la frustration et au bout des efforts, c’est un sentiment de s’être dépassé.e !


    Le sport, c’est aussi un collectif ! Mes camarades sont présent·es pour moi, ils et elles m’encouragent et l’ambiance au sein du club est travailleuse, rigoureuse et propice à l’amusement. La performance, ce n’est pas uniquement être devant des difficultés.

    Les règles sportives, les personnes et l’environnement sont respectés

    2
  • Cette situation permet de distinguer trois situations nécessaires à la bonne pratique sportive où mon engagement est reconnu :
  • • Je respecte les règles sportives et de bonnes conduites de ma discipline. Je respecte l’arbitre, les règles et les décisions d’arbitrage. Au-delà, je respecte les personnes qui m’entourent dans ma pratique sportive, de mes camarades à mes entraîneurs ou bénévoles, par exemple.


    • J’appartiens aussi à l’écosystème où je fais du sport et je respecte le littoral, la mer, la forêt, la montagne, la végétation et les animaux que je côtoie, et le bien-être de mon animal qui est mon partenaire (équitation, cani-cross, musher...). Je fais attention à mes déchets. Je respecte aussi les lieux qui m’accueillent : les installations sportives, salles de soin, hôtel, transport..

    Je me sens libre de demander des explications sur une parole, un geste, une consigne

    3

    Je me sens libre de demander des conseils si je ne comprends pas une explication, un geste, une consigne ou une réglementation. L’encadrement présent dans mon club m’écoute et prend le temps de répondre à mes questions, quand j’en ai besoin.


    Quand j’entends un propos ou une blague sexiste, homophobe ou discriminatoire, je sais que je peux en parler librement pour dénoncer ces comportements.

    Je me sens libre de demander les adaptations dont j’ai besoin pour ma pratique

    4
  • Je me sens libre de demander à ce que :
  • • L’endroit de pratique soit accessible


    • Des aménagements liés à ma situation de handicap puissent être mis en place (exemple, que les informations soient communiquées de manière adaptée pour une personne malentendante ou sourde, ou une personne mal voyante ou aveugle).


    • Des aménagements liés à ma santé (par exemple, dyspraxie, épilepsie, asthme, diabète...)


    • Des adaptations liées à la pathologie soient envisagées (par exemple, pour une personne autiste, qu’il y ait au moins un·e accompagnant·e ou un·e coéquipier·ère connu·e...)

    Mon corps m’appartient, mon accord est demandé lors d’un geste technique ou un contact répété sur mon corps

    5
  • Cette situation reflète un sentiment de confiance avec les personnes qui m’encadrent et m’entourent dans ma pratique sportive :
  • • Je me sens suffisamment à l’aise pour demander des explications sur un geste technique, comme par exemple une parade en gymnastique, ou une correction de placement en natation, en athlétisme, ou une prise en main par mon guide en course ...


    • Mon encadrement m’explique et me demande l’autorisation pour pratiquer le bon geste technique (parade, correctif de placement...) sur moi. S’il touche une ou des parties de mon corps, j’ai le droit de savoir pourquoi et dire oui ou non.


    • Pareil pour les gestes répétitifs lors d’un transfert de fauteuil, d’une pose de prothèse, lors d’une guidance, lors d’une friction d’un muscle, lors d’un placement, ou lors d’une aide pour se déshabiller : ce n’est pas parce que j’ai accepté les premières fois et que les gestes se répètent, que cela me convient ensuite. A tout moment, je suis libre de m’exprimer.


    Je me sens à l’aise quand je me change, ou qu’on m’aide ; mon intimité est respectée

    6

    Lorsque je me déshabille ou que je m’habille, j’ai le choix de le faire seul·e ou avec des ami·e·s. Tout le monde accepte mon choix et personne ne le critique.


    Lorsque j’ai besoin d’aide pour m’habiller, ou pour me déplacer, me transférer, la personne qui m’aide me demande en amont l’autorisation pour m’aider à telle ou telle tâche si elle est contrainte de toucher des parties intimes : fesses, poitrine, aine, sexe, cuisses. Il n’y a pas de gêne entre nous, car on se parle ouvertement.

    Je peux vivre sans crainte mon identité de genre ou mon orientation sexuelle

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  • Cette situation concerne les sentiments liés à mon identité de genre et orientation sexuelle :
  • J’ai le choix, lors de ma pratique sportive, au sein de mon club, de vivre mon orientation sexuelle et/ou mon identité de genre comme je l’entends, sans craindre la critique, les moqueries, les attouchements ou les reproches.


    Je peux être par exemple hétérosexuel·le, homosexuel·le, non-binaire ou bien être accepté·e en tant que personne trans.


    Je me sens libre d’être qui je suis et d’aimer qui je veux. Je suis libre de le dire ou pas que je suis hétérosexuel ou homosexuel. Je ne ressens pas d’intrusion dans ma vie privée, ni ma vie sexuelle. Je me sens aussi respecté.e dans mon identité de genre vécue, en m’appelant par mon prénom choisi et en me laissant accéder aux vestiaires du sexe choisi.


    C’est aussi parce que le club ou la structure d’entraînement pratique une politique Zéro Tolérance pour les violences et les discriminations et les fait cesser dès les premiers propos. Je ressens une ambiance bienveillante et je me sens en sécurité.

    Je ressens des attitudes (paroles, gestes, regards) dévalorisantes ou trop flatteuses, sur mon corps ou mes vêtements

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    Cette situation apparaît quand je ressens des sentiments comme la gêne, que je suis mal à l’aise sans que je sache ou non pourquoi. Cela peut être l’ambiance dans le groupe qui me pèse, ou alors l’attitude d’une personne qui me dérange.


    J’entends des paroles qui me gênent. Ces paroles peuvent être méchantes, moqueuses, homophobes : « t’as joué comme une tafiotte », « les hommes, les vrais, ça ne pleure pas, ça serre les dents et les fesses », « une sportive, ça ne chiale pas, ça montre qu’elle a des couilles »


    Mais elles peuvent aussi parfois être trop flatteuses (par exemple “ j’aime beaucoup ton petit short”, ou “je trouve que ton corps a de jolies formes”, « tu es vraiment la meilleure de toutes, je tenais à te le dire », « tu es le seul en qui je place mes espoirs », « je t’ai regardé.e à l’entraînement, tu as vraiment quelque chose que les autres n’ont pas, tu as de la chance, c’est unique ça, tu me bouleverses et je ressens un lien fort rien qu’avec toi » ou l’on me donne des surnoms que je n’aime pas...).

    J’ai le droit de me sentir mal à l’aise, de ne pas comprendre pourquoi on me tient tous ces propos. Je peux en parler directement avec la personne concernée, ou bien alors à une personne de confiance. J’ai le droit de ne pas apprécier qu’une personne se permette des compliments sur mon physique, ma personnalité alors que nous ne partageons aucune intimité, ou qu’une intimité entre nous serait déplacée (par exemple entre une personne mineure et majeure). Le fait de devoir passer du temps dans ma pratique sportive avec cette personne m’angoisse. La manière dont une personne me regarde me met mal à l’aise, car j’ai la sensation qu’elle cherche une autre relation avec moi qui ne me paraît pas normale, qui m’inquiète.


    Je perçois des gestes (une personne m’effleure la peau plusieurs fois, ou elle pose ses mains sur des parties de mon corps qui me mettent mal à l’aise/ et ça me met mal à l’aise, tapes répétées sur la tête, les fesses, la nuque, les épaules, le pénis...). Je n’aime pas qu’une personne me touche, ou touche systématiquement certaines parties de mon corps (caresse mes cheveux, mes bras, mes hanches, mes jambes...) sous prétexte de m’aider à faire quelque chose, ou sous prétexte de me corriger pour ma pratique sportive. J’ai le droit de lui indiquer que ces gestes me mettent mal à l’aise, ou bien je peux aussi en parler à une personne de confiance.


    Cette situation reflète des sentiments d’angoisse car une personne entre dans mon intimité, s’autorise une certaine proximité avec moi qui ne me paraît pas normale, ou alors parce que son regard ou son attitude me gêne ainsi que mes camarades et personne ne veut se retrouver seul.e avec cette personne qui nous met mal à l’aise. J’ai le droit de ressentir ce malaise. Je peux me faire confiance et parler de ces sentiments à une personne de confiance. Je peux aussi contacter le tchat ou les numéros présents sur le Règlo’Sport pour échanger, demander conseil, être écouté·e. Pouvoir en parler me fera du bien et me rassurera sur ma légitimité à ressentir ce que je ressens.

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    Je dois me mettre en sous-vêtements à la vue des autres (vestiaire, massage, pesée, transport, douche en plein air...)

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    Cette situation reflète un sentiment de gêne et de malaise en raison des moments où je dois me changer. Dans le sport, on est souvent exposé à la nudité. On change plusieurs fois de tenues, on se douche...


    Et cela me gêne, lorsque l’encadrement ou les coéquipiers m’obligent à me changer avec mes camarades. J’ai le droit d’exprimer que cette situation ne me met pas à l’aise et que je préfère me changer seul·e, à l'abri des regards. J’ai le droit de ne pas vouloir être dévêtu.e ou totalement nu.e devant les autres, dans les vestiaires, sous la douche, en chambre d’hôtel...


    Parfois, je dois me changer dans une voiture, dans le gymnase, dans le stade ou autres, car je n’ai pas le temps d’aller au vestiaire, ou mon encadrement ou mes camarades me conseillent de ne pas y aller. J’ai le droit de dire non, de ne pas vouloir me changer devant tout le monde, de vouloir être à l’écart.

    J’évite aussi de me changer sous le regard d’un adulte, y compris mon parent. Mon parent peut m’aider si je lui demande, uniquement.


    Ma pratique sportive m’oblige à un moment de me mettre en sous-vêtement devant d’autres personnes (par exemples en judo, la pesée ; en ski, patinage..., ou à haut niveau un soin kiné...), j’ai le droit de dire que je suis mal à l’aise car il y a trop de monde, ou certaines personnes devant lesquelles je ne veux pas me mettre en sous-vêtement.


    J’ai aussi le droit de dire non, même si j’ai besoin d’aide pour m’habiller (je suis en situation de handicap par exemple qui nécessite une tierce personne...), car la personne qui m’aide me met à l’aise ou parce que cette personne m’aide devant les autres, en discutant avec d’autres personnes.


    La discussion et le dialogue doivent pouvoir se mettre en place, pour écouter ce que je ressens. Être en sous-vêtement dans certaines situations de pratique sportive, se justifie pour des raisons professionnelles/médicales ou sportives mais c’est pourquoi elles doivent être faites par des professionnels, qui ne me mettent pas mal à l’aise. Par exemples, la pesée en sous-vêtements est pratiquée par un médecin ; un soin en sous- vêtement, oui mais par un·e kinésithérapeute, un·e infirmier·ère ; lors d’une douche, jamais des adultes ne se douchent avec des mineurs, ni les filles avec les garçons ; une aide par une tierce personne doit être réalisée soit par une personne habilitée soit à minima par une personne désignée et acceptée par la personne en situation de handicap.


    Et même si ces situations sont bien faites avec des professionnels, je dois pouvoir exprimer mon malaise à l’encadrement qui me laisse dans cette situation de devoir me mettre en sous-vêtement si cela me dérange. Le dialogue doit pouvoir exister sur ce sujet. Je dois pouvoir leur dire que cela ne me convient pas. Je peux être mal à l’aise car mon corps est devenu un objet désacralisé, ou au contraire hyper sexualisé, ou parce que je suis victime d’attitudes et remarques grossophobistes, ou liées à mon handicap moteur, sensoriel, mental ou psychique, par les sportifs ou par l’entraîneur, ou le milieu médical. Et si l’encadrement n’entend pas ou que je n’arrive pas à lui dire car j’ai peur de sa réaction, je peux en parler à une personne de confiance qui m’aidera à trouver une solution, ou contacter le tchat ou les numéros présents sur le Règlo’Sport.

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    L’encadrement entre dans les vestiaires sans attendre mon autorisation

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  • Cette situation engendre des sentiments de gêne et malaise importants car elles concernent mon intimité :
  • Les vestiaires sont propices à la préparation, à la mise en condition mentale pour la pratique, au briefing et au débriefing, aux retrouvailles et au partage, souvent propice à la promiscuité. La proximité doit être encadrée par respect pour l’intimité et l’intégrité de ceux qui s’y trouvent.


    Des adultes ou d’autres pratiquant·es entrent dans les vestiaires, sans prévenir, ni demander mon autorisation, alors que je n’ai pas fini de me changer, ou que je suis encore en train de me doucher. Je suis très mal à l’aise qu’une autre personne me voit presque nu·e. Je comprends qu’une personne ait besoin d’entrer dans les vestiaires (par exemple, si l’encadrant·e doit intervenir parce qu’il y a un conflit, un problème dans le vestiaire, ou que je suis en retard pour mon match...), mais je ne suis pas d’accord avec le fait qu’ils/elles ne préviennent pas et n’attendent pas mon autorisation. Mon intimité m’appartient. Je dois pouvoir dire à mon encadrement que je n’apprécie pas leurs entrées dans les vestiaires sans attendre mon autorisation car cela me met très mal à l’aise et m’angoisse. Si l’encadrement n’entend pas ou ne comprend pas ma gêne, je peux en parler à une personne de confiance, ou contacter le tchat ou les numéros présents sur le Règlo’Sport

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    On m’aide dans des gestes de la vie quotidienne (habillement, toilettes...) sans que j’en aie exprimé le besoin ou l’envie

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  • Cette situation entraîne des sentiments de gêne, d’angoisse, car je n’aime pas que l’on m’aide et que l’on me touche sans me demander l’autorisation :
  • Je n’aime pas que l’on m’aide à m’habiller sans qu’on me demande si je suis d’accord ou pas. Je peux ne pas aimer être aidé·e pour m’habiller, et je veux pouvoir dire oui si j’ai besoin d’une aide. Si je suis en situation dans laquelle j’ai besoin qu’une tierce personne m’aide à m’habiller ou me changer, alors je veux pouvoir choisir la personne, et refuser certaines personnes car cela me met mal à l’aise. Et surtout, je veux que l’on me demande mon avis.


    Je peux exprimer aux personnes qui m’aident à m’habiller alors que je ne le veux pas, que je ne veux plus qu’elles recommencent. Si elles ne m’écoutent pas alors je peux en parler avec une personne de confiance ou contacter le tchat ou un numéro d’accompagnement présents dans le Règlo’Sport pour demander des conseils.

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    Je ressens une pression de plus en plus lourde par les réseaux sociaux (entraîneurs, coéquipiers, followers, sponsors, chantage à la sélection...)

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    L’usage des réseaux sociaux, très répandu dans l’animation sportive et la pratique sportive, peut se révéler déviant : pression de l’éducateur pour contrôler la nutrition, le sommeil, le temps libre, pression par ma communauté virtuelle ou par mon sponsor...

    Je me sens de moins en moins libre dans ma pratique : je dois répondre aux attentes et aux commentaires de l’entraîneur qui me met une pression, aux autres sportifs pour rester intégré·e dans le groupe, aux followers car sinon je perds des vues, aux sponsors car sinon je perds un soutien financier et je ne pourrais plus vivre de mon sport et atteindre le haut niveau.


    Ça peut être des commentaires négatifs, mais ça peut être aussi des commentaires enthousiastes qui mettent la barre haut, et je ne peux pas décevoir mes soutiens non plus. Ma pratique sportive et mon plaisir sont de plus en plus contraints. J’ai le sentiment que je m’appartiens de moins en moins.


    La pornographie sur Internet ou par les réseaux sociaux est aussi banalisée chez les jeunes, ainsi que les injonctions pornographiques comme approche de séduction ; cela concerne donc aussi les sportifs comme les éducateurs, les majeurs comme les mineurs : échanges intimes par sms, sextos, nudes, challenges sensuels ou sexuels TikTok, sexting, strip-tease en ligne...

    Certains sms me mettent mal à l’aise, mon entraîneur, ou quelqu’un de l’encadrement, ou un bénévole, veut rentrer dans une certaine intimité alors que je ne le souhaite pas, ou je suis mineur·e et lui/elle majeur·e. Les messages sont dérangeants, bizarres, pas ouvertement explicites sur des propositions intimes et intrusifs


    Je dois pouvoir dire à ces personnes que je n’apprécie pas leurs messages, leurs intrusions, leur pression, car cela me met très mal à l’aise et m’angoisse. Si je ne suis pas entendu·e, ou pas compris·e, ou si j’ai peur d’en parler car j’ai peur de leurs réactions, je peux en parler à une personne de confiance, ou contacter le tchat ou les numéros présents sur le Règlo’Sport pour demander conseil.

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    On me demande de rester à la fin de l’entraînement, et il n’y a plus personne. Cette situation m’angoisse

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  • Cette situation entraîne des sentiments de peur, de tristesse, de malaise :
  • • J’ai peur quand une personne me demande de rester, alors que les autres pratiquant·es sont parti·es. Le fait de me retrouver en tête à tête avec la personne m’angoisse. J’ai le sentiment que quelque chose de mauvais pourrait m’arriver.


    • J’ai le droit de dire non, que je ne peux pas ou que je ne veux pas rester. Je peux aussi en parler à une personne de confiance, ou contacter le tchat ou les numéros présents sur le Règlo’Sport. Mes interlocuteurs et interlocutrices pourront m’écouter et me donner des conseils pour ne plus me retrouver dans cette situation et ne plus avoir peur.


    • Je me sens triste de ne pas pouvoir pratiquer mon sport sans avoir peur.

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    Je me sens seul·e, isolé·e et harcelé·e ; j’ai peur, alors que j’aime mon sport

    14
  • Cette situation entraîne un sentiment de tristesse, de solitude, d’angoisse et de peur alors que je devrais normalement me sentir bien de pratiquer un sport que j’aime :
  • Lorsque je suis à l’entraînement et que personne ne veut me parler ou que les autres personnes me tiennent des propos méchants, agressifs, voire violents, j’ai peur. Je n’ose plus parler à personne, je n’ose plus rigoler, je ne me sens pas, ou plus, bien dans mon club. Je suis triste de ne pas pouvoir m’amuser à faire mon sport.


    J’ai peur et je me sens mal, parce qu’une personne de l’encadrement, ou partenaire, me stigmatise, tient des propos méchants et agressifs à mon écart. Cette personne m’isole, me met à l’écart et me tient alors des propos qui me font peur, me menace ou est violente (verbalement, psychologiquement et/ou physiquement) avec moi.


    Je me retrouve dans des situations de solitude, je n’ai personne avec qui échanger, partager car les autres personnes me font peur. J’ai peur car je suis à l’écart, ou que je dois faire des actes ou dire des paroles que je ne veux pas faire ou dire. Une personne ou plusieurs me menacent ou me laissent de côté parce que je ne veux pas faire ou dire ce qu’elles veulent.


    Je peux me retrouver dans des situations de harcèlement et de bizutage. Il ne faut pas oublier que les coupables sont les persécuteurs, pas les personnes qui sont la cible, les personnes qui refusent de subir, ou les personnes qui consentent par peur d’être isolées, exclues, ou encore plus ostracisées. Il n’y a pas de gentilles moqueries, de gentils harcèlements, ni de gentils bizutages. L’effet collectif qui souvent empêche de dire non, ou d’oser émettre un avis opposé, prive en fait la victime de libre arbitre.Ce n’est pas normal.Toute personne a le droit de dire non, de ne pas vouloir.


    Il faut aussi rappeler que ces situations, notamment de bizutage/harcèlement, mettent au final, souvent, toutes les personnes, les persécuteurs comme les victimes en situation de danger, dont ils n’ont pas forcément conscience. Qu’il s’agisse d’un rite initiatique, d’un jeu de cohésion, de soirées festives, de 3ème mi-temps, comme de bataille de pénis, de fellation, de simulations d’actes sexuels, du jeu de l’olive dans l’anus, de la brouette, de la chambre noire, de se monter/filmer/courir, nu·e ou dénudé·e ..., d’administration de substances à l’insu de la personne pour désinhiber (alcools, drogues, psychotropes, GHB, poppers...), le droit à dire NON, STOP doit exister et s’imposer.


    Les situations de harcèlement, de bizutage, d’exclusion, de pression qui amènent à l’isolement, la peur, la solitude, le secret et le chantage. Elles ne sont pas supportables et j’ai le droit d’en parler si je le souhaite. J’ai le droit de ne pas rester dans cette situation de peur qui m’empêche de pratiquer mon sport avec plaisir et enthousiasme. Je peux en parler à une personne de confiance ou contacter le tchat ou les numéros présents sur le Règlo’Sport. Mes interlocuteurs pourront m’écouter et me donner des conseils pour ne plus me retrouver dans cette situation et ne plus avoir peur.

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    Je subis des violences sur les réseaux sociaux (messages haineux ou sexuels...)

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    L’usage des réseaux sociaux peut être abusif : harcèlement entre sportifs, bizutage filmé et diffusion, harcèlement de l’éducateur pour contrôler les relations de l’athlète, harcèlement par les communautés virtuelles ou par ses sponsors, qui font du chantage : à moins de 10 000 vues, je perds mon sponsor et le droit de porter sa marque ; à moins de 10 000 vues, je ne rentre pas dans la catégorie des athlètes sélectionnables...


    Par ailleurs, les violences sexuelles commencent souvent par une approche via les réseaux sociaux et l’échanges de sms, sextos, nudes, glissant vers des sollicitations pour des actes sexuels en ligne...


    Les supporters et les haters « se lâchent » sur les réseaux en cas de défaite et m’humilient par des discours de haine, racistes, homophobes, humiliants...


    Les haters peuvent aussi me déstabiliser sciemment au cours d’une préparation à un match, une compétition pour permettre de donner la victoire à l’adversaire, ou en cas de mécontentement de ma sélection à la place de l’athlète qu’ils attendaient.


    Je n’arrive plus à me concentrer et à trouver du plaisir dans mon sport. J’ai peur quand je vais sur le terrain lors d’une compétition.


    De même, tout au long de l’année, je n’ai que des messages de remontrances, aucun de soutien ni d‘encouragement, ni par l’entraîneur, ni par l’équipe. Ils s’acharnent sur moi. Quand on se voit, je suis toujours celui·celle qui prépare ou qui range seul·e le matériel. Je suis toujours de démonstration et je me fais rabrouer. Je me sens persécuté·e, bizuté·e.


    Toutes ces situations, elles se vivent comme une forme de chantage, ou comme une forme de rejet de ma personne, de qui je suis. Je ne me sens plus à ma place, ni légitime, alors que j’aimais mon sport. L’encadrement n’intervient pas ou minimise et ne fait pas cesser ces comportements. J’ai le droit de ne pas rester dans cette situation de peur qui m’empêche de pratiquer mon sport avec plaisir et enthousiasme. Je peux en parler à une personne de confiance ou contacter le tchat ou les numéros présents sur le Règlo’Sport. Mes interlocuteurs pourront m’écouter et me donner des conseils pour ne plus me retrouver dans cette situation et ne plus avoir peur.

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    On diffuse des photos des parties de mon corps, en sous-vêtements ou nues

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  • Ces situations m’humilient et me plongent dans des sentiments de honte, de peur :
  • • Une ou des personnes prennent une photo de moi alors que je suis en train de me changer ou de me doucher. Elles diffusent et partagent ces photos sans me demander l’autorisation. D’autres personnes vont alors me voir dénudé·e ou voir des parties de mon corps, les commenter, se moquer de moi. C’est très gênant, humiliant.


    • Une ou des personnes font pression sur moi pour que je prenne ou que je diffuse des photos des parties intimes du corps d’une autre personne. Elles me menacent de m’exclure si je ne le fais pas, ou de le faire sur moi si je refuse.


    Ces situations m’angoissent, j’ai honte, je ne veux plus aller pratiquer mon sport ou alors j’y vais avec la peur au ventre. Ces situations ne sont pas tolérables et sont punies par la loi. Les personnes qui obligent ou font ces actes sont passibles de poursuites judiciaires et de condamnation. Mais avant tout, j’ai le droit de ne pas vouloir pratiquer mon sport en subissant ces violences. J’ai le droit d’être écouté·e et d’être accompagné·e. Je peux en parler à une personne de confiance ou contacter le tchat ou les numéros présents sur le Règlo’Sport. Mes interlocuteurs et interlocutrices pourront m’écouter et me donner des conseils pour ne plus me retrouver dans cette situation et ne plus avoir peur.

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    On me prive d’un matériel adapté, d’un traitement médical autorisé, ou de boire ou de manger

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    Ces situations engendrent des sentiments de peur mais aussi des sentiments d’atteinte à la dignité et la fierté.


    Je peux avoir besoin d’un matériel adapté à ma pratique et pour me punir, l’encadrement va me le refuser. Ou j’ai besoin d’un matériel médical adapté mais c’est considéré comme gênant ma pratique ou l’encadrement considère que pour réussir il faut souffrir et que donc ce matériel n’est pas utile. Il peut aussi s’agir d’un traitement médical autorisé qui n’est pas admis par l’encadrement ou une personne de l’encadrement. Par exemple, j’ai besoin de ventoline car je fais de l’asthme mais l’entraîneur ou autre personne considère que c’est pour les « taffiotes », que le sport cela n’est pas fait pour les faibles.


    Il peut aussi arriver que l’on me cache, vole ou m’enlève un matériel, un traitement car on veut me tester, m’humilier, se moquer de moi. Cela peut être un jeu de mes camarades.


    Ces situations peuvent être accentuées lorsque je suis dans une situation de handicap. Par exemple, je suis autiste et j’ai besoin d’avoir un objet, un matériel qui est nécessaire à ma pratique et mon bien être mais on refuse de trouver une solution pour que ça soit compatible avec l’entrainement. Ou je suis diabétique et j’ai besoin de contrôler mon taux de sucre et au besoin de m’alimenter ou m’hydrater. On va cacher ou jouer avec mon matériel de contrôle, ou on va me piquer, me cacher, jalouser ou me confisquer la nourriture ou la boisson dont j’ai besoin, sous prétexte que cela perturbe les autres qui eux n’ont pas le droit de manger pendant l’entraînement. Ou bien encore j’ai besoin d’une canne blanche pour me déplacer en dehors de ma pratique sportive, ou de grosses lunettes/jumelles pour lire des documents et on me les cache, on les confisque.


    Il peut aussi exister de la grossophobie. Mes camarades ou l’encadrement vont considérer que je suis déjà trop gros ou trop grosse et me priver de nourriture sur les déplacements, les compétitions, en m’humiliant, me complexant et en me culpabilisant.


    Toutes ces situations ne sont pas tolérables. Cette violence ne doit pas pouvoir exister, ni perdurer. Le dialogue doit toujours être favorisé etdoit pouvoir avoir lieu. Si je ne peux pas communiquer sur ces situations de violences avec l’encadrement ou mes camarades, je peux en parler à une personne de confiance. J’ai le droit d’être écouté·eet d’être accompagné·e. Je peux aussi contacter le tchat ou les numéros présents sur le Règlo’Sport. Mes interlocuteurs et interlocutrices pourront m’écouter et me donner des conseils pourne plus me retrouver dans cette situation et ne plus avoir peur.

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    Mes parties intimes sont touchées, caressées, embrassées (bouche, cuisse, fesses, poitrine, sexe)

    18
  • Ces situations entraînent des sensations de peur, de piège, d’isolement, d’injustice :
  • Une ou des personnes me touchent, caressent des parties intimes de mon corps, ou me tiennent des propos très flatteurs sur mon corps, sur des parties de mon corps, prennent des photos ou me demandent d’envoyer des photos dénudées de moi. Elles me demandent de ne parler à personne de ces paroles et ces gestes. Une ou des personnes menacent ma famille ou mon entourage si je révèle le secret, le fait qu’elles me caressent, me touchent, regardent des photos de moi.


    Ces situations ne sont pas tolérables et sont punies par la loi. Les personnes qui obligent ou font ces actes sont passibles de poursuites judiciaires et de condamnation.


    Mais avant tout, j’ai le droit de ne pas vouloir pratiquer mon sport en subissant ces violences. Ni le sport, ni la performance, ni aucune situation ne peuvent exiger de subir des violences sexuelles, ni par un adulte, ni par quiconque. Aucune médaille ou réussite n’ont ce prix à payer. La dignité n’a pas de prix. Il est très important de retenir que l’emprise dans laquelle je suis piégée n’est pas de ma faute. Cela peut me détruire sans que je le sache, peut m’amener à des conduites à risques (alcool, drogue, prostitution, automutilation...). Cette relation qui m’enferme, ces caresses, ces baisers, ces gestes sont des agressions sexuelles, un viol, ou un inceste si c’est une personne de ma famille. L’auteur abuse de son autorité sur moi, il me manipule quand même bien j’ai été à un moment d’accord pour être touché·e, caressé·e ou embrassé·e. Il a réussi à me faire croire que j’en avais envié, que j’étais responsable. C’est faux. J’ai le droit d’être écouté·e et d’être accompagné·e. Je peux en parler à une personne de confiance ou contacter le tchat ou les numéros présents sur le Règlo’Sport. Mes interlocuteurs et interlocutrices pourront m’écouter et me donner des conseils pour ne plus me retrouver dans cette situation et ne plus avoir peur.

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    On me demande de toucher, caresser ou embrasser les parties intimes d’une autre personne ; je subis un rapport sexuel

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  • Ces situations me font peur et m’angoissent :
  • • Une ou des personnes me demandent de caresser, d’embrasser une autre personne. Elles me menacent de le faire sur moi si je ne le fais pas. Ou elles me disent que ce n’est pas grave, que c’est un jeu. Que l’autre personne est d’accord. Ou qu’elle l’a bien cherchée, qu’elle aime qu’on la touche, que l’on caresse son sexe, ses fesses, ses seins


    • Je ne sais pas si je comprends réellement ce qu’il se passe. Je ne sais pas si ce que je fais est bien ou pas bien. J’ai peur, mais je ne sais pas comment réagir, si je dois en parler ou pas.


    Ces situations peuvent survenir lors d’un bizutage, ou lors de sollicitations sexuelles en ligne sur les réseaux sociaux (jeux vidéo, challenges facecam, sextapes, ou même live streaming où un viol est filmé avec un commanditaire qui est à l’étranger...), ou lors d'un déplacement, à la fin d’un entraînement...


    Ces situations m’angoissent, j’ai honte, je ne veux plus aller pratiquer monsport ou alors j’y vais avec la peur au ventre. Ces situations ne sont pas tolérables et sont punies par la loi. Les personnes qui m’obligent à faire ces acte sont passibles de poursuites judiciaires et decondamnation.

    Mais avant tout, j’ai le droit d’être écouté·e et d’être accompagné·e. Je peux en parler à une personne de confiance ou contacter le tchat ou les numéros présents sur le Règlo’Sport. Mes interlocuteurs et interlocutrices pourront m’écouter et me donner des conseils pour ne plus me retrouver dans cette situation et ne plus avoir peur.

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    On me fait du chantage pour que je garde le secret

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  • Ces situations entraînent des sensations de peur, de piège, d’isolement, d’injustice :
  • • Une ou des personnes me touchent, caressent des parties intimes de mon corps, ou me tiennent des propos très flatteurs sur mon corps, sur des parties de mon corps, prennent des photos ou me demandent d’envoyer des photos dénudées de moi. Elles me demandent de ne parler à personne de ces paroles et ces gestes. Elles m’informent que ce sont nos “petits secrets”, que personne ne pourrait comprendre.


    • Elles me disent que les autres ne comprendraient pas pourquoi elle et moi on fait cela, ou qu’en fait j’aime ça puisque je me laisse faire. Elle me dit qu’il vaut mieux ne pas en parler, garder cela secret. Sinon c’est moi qui aurais honte. Elles peuvent ajouter que j’ai de la chance que l’on s’intéresse à moi. Ma famille, mon entourage ne comprendraient pas et me regarderaient différemment.


    • Une ou des personnes menacent ma famille ou mon entourage si je révèle le secret, le fait qu’elles me caressent, me touchent, regardent des photos de moi.


    Ces situations ne sont pas tolérables et sont punies par la loi. Les personnes qui obligent ou font ces actes sont passibles de poursuites judiciaires et de condamnation. Mais avant tout, j’ai le droit de ne pas vouloir pratiquer mon sport en subissant ces violences. J’ai le droit d’être écouté·e et d’être accompagné·e. Je peux en parler à une personne de confiance ou contacter le tchat ou les numéros présents sur le Règlo’Sport. Mes interlocuteurs et interlocutrices pourront m’écouter et me donner des conseils pour ne plus me retrouver dans cette situation et ne plus avoir peur.

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